Parler de surdoués ou de précoces n’est apparemment plus d’actualité, on parle désormais d’enfants à « haut potentiel » ou « HP ». Si une des caractéristiques de ces enfants est d’apprendre bien plus vite que la moyenne, il arrive parfois que certains soient perturbés, victimes de troubles du comportement ou d’hypersensibilité affective. À tel point que, malgré leur potentiel, 30 % de ces HP n’obtiennent pas leur baccalauréat.
Ainsi une étude, sans précédent, menée depuis un an par le Cermep, centre de « l’imagerie du vivant » de Lyon et financée par la fondation Apicil, s’est penchée sur le « cerveau » de ces enfants à « haut potentiel », et a tenté d’expliquer leurs échecs et leurs facilités, leur fonctionnement intellectuel.
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