Qu’entend-on par intelligence atypique

instein, Andy Warhol, Vincent Van Gogh et Mark Zuckerberg… Ces êtres exceptionnels, doués d’une intelligence atypique, ont une façon bien à eux de penser et d’envisager le monde qui les entoure. Cependant ils manquent d’intelligence relationnelle et de sens d’autrui. Leur cerveau ne fonctionne pas tout à fait comme celui des autres.

Nombreuses sont les personnes dont les talents secrets peuvent passer inaperçus. Il n’est pas rare qu’elles souffrent à l’école, en entreprise, dans leur famille, de l’incompréhension de leurs forces et de leurs fragilités.

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C’est de cette spécificité qu’il est question dans le livre de Séverine Leduc et David Gourion, Eloge des intelligences atypiques (Ed. Odile Jacob).

Des difficultés sociales

Ces intelligences atypiques ne sont pas suffisamment reconnues, détectées, valorisées, regrette Séverine Leduc, psychologue clinicienne à Paris, spécialisée dans les bilans de diagnostic du trouble du spectre de l’autisme (TSA) et du trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH).

Ce livre permet donc de mieux connaître la question, de décrire cette forme de pensée un peu différente et d’expliquer les difficultés que peuvent ressentir certaines personnes au quotidien.

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HPI en entreprise, zoom sur ces salarié·es qui sortent des sentiers battus…

« Être surdoué est une richesse. Mais c’est aussi une différence qui peut susciter un sentiment de décalage, une impression de ne jamais être vraiment à sa place », écrit la psychologue et auteure Jeanne Siaud-Facchin dans son livre Trop intelligent pour être heureux ? Alors comment ces hauts potentiels intellectuels – que nous préférons à surdoués – vivent-ils leur quotidien en entreprise, sorte de microsociété ? Allergiques aux codes et aux normes – souvent très présents dans le monde du travail – ces individus représentent avant tout une grande richesse pour nos entreprises.

HPI en entreprise

Vendredi soir, 19 h 15, dans une grande banque en petite couronne parisienne. À en croire son contrat de travail, Renaud y est graphiste – du moins c’est pour ce motif que le jeune homme a été embauché il y a deux ans « pour 35 heures hebdomadaires ». En pratique, Renaud – au-delà de son rôle stricto sensu de graphiste – apporte sa pierre à l’édifice lorsqu’il s’agit d’évoquer le plan global de communication de la maison, regarde et compare les stratégies des concurrents et donne son avis sur l’utilisation marketing des réseaux sociaux. Quand il ne cherche pas à raviver le collectif, à coups de propositions de jeux plus ou moins loufoques. Un vrai couteau suisse, toujours en ébullition et avide de sens au travail. Jamais il ne se présentera comme graphiste, toujours travaillant pour la banque X.

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TDAH un difficile chemin vers le diagnostic

Le TDAH, ou trouble du déficit de l’attention, avec ou sans hyperactivité, est de plus en plus connu. Mais s’il est aujourd’hui plutôt bien diagnostiqué chez les jeunes garçons, les femmes doivent souvent attendre l’âge adulte pour obtenir un diagnostic. ENTR a recueilli les témoignages de deux jeunes européens atteints de TDAH.

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Que se passe-t-il dans le cerveau d’un procrastinateur ?

La procrastination touche un adulte sur cinq. Une étude de l’Inserm et de l’Institut du cerveau à Paris décrypte notre comportement face à une tâche fastidieuse.

“Repousser au lendemain, ce que l’on peut faire le jour même”, ce n’est pas toujours une bonne idée. Pourquoi cette mauvaise habitude de la procrastination ? Pour répondre à cette question, Mathias Pessiglione, chercheur à l’Inserm, et Raphaël Le Bouc, neurologue à l’Institut du cerveau, ont sollicité 51 volontaires. Ils leur ont fait passer des tests, notamment celui de remplir des formulaires administratifs fastidieux pour obtenir de l’argent. Résultat : non seulement il y a eu des retards dans l’envoi des formulaires – preuve qu’il y avait bien des procrastinateurs dans le groupe – mais, en plus, ces chercheurs ont su les repérer à l’avance.

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La revanche des profils atypiques

Les profils dits atypiques semblent désormais trouver grâce aux yeux des entreprises. Aux sacro-saints critères que sont diplômes, expérience et âge, se substituent désormais des notions plus en phases avec la réalité : compétence, pertinence des parcours, savoir-être et personnalité.

Curieux renversement sémantique que de considérer comme atypiques des personnes laissant transparaitre leur vraie personnalité ou affichant ouvertement leurs opinions, leur particularisme et leurs désaccords avec des dogmes entrepreneuriaux !

L’intérêt du profil atypique
La culture RH évolue sans cesse et s’adapte aux changements de société, les bouleversements, dans ce domaine particulier, sont désormais souvent issus du monde des start-ups, qui, par leur dynamisme, ouvrent de nouvelles voies en bouleversant l’ordre établi. Le regain d’intérêt pour les profils atypiques ne fait pas exception à cette tendance. En effet, ce type de profil a longtemps été perçu comme dangereux aux yeux des recruteurs en raison de la structure managériale des entreprises, peu enclines à intégrer au sein d’une organisation historiquement hiérarchisée et structurée, des personnalités prétendues incompatibles avec la rigidité de leur fonctionnement.

Lire aussi : Recrutement : les entreprises atteintes du syndrome du clone

L’essor des start-ups et de leur mode de fonctionnement moins « conventionnel » a généré une prise de conscience plus globale de tout le potentiel de ces personnalités autrefois dénigrées. Ces profils atypique ont su prouver que leur vision disruptive, leur parcours non conventionnel, leur personnalité différente… pouvaient insuffler un regard neuf et des perspectives différentes dans la conduite managériale de l’entreprise et dans ses objectifs ou sa manière d’appréhender les problématiques.

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