Accompagnement individuel

Un accompagnement pour quoi faire ?

Explorer ses ressources, en faire des forces !

Comme tout adulte, le zèbre, peut avoir besoin d’une aide pour passer un cap, dépasser une difficulté…  professionnelle ou personnelle.

Toutefois, les particularités du zèbre font que les demandes d’accompagnement prennent des formes spécifiques :
  • Organiser ma pensée
  • Trouver les bonnes personnes pour mes projets
  • Me concentrer sur un seul sujet
  • Me sentir en adéquation avec mon environnement
  • Être acteur de ma vie
  • Avoir confiance en moi, mon jugement, mes idées…
  • Oser affirmer ce que je suis vraiment au fond de moi
  • Explorer les questions existentielles

En tenant compte de votre singularité, de la vision que vous avez de vous-même et de votre fonctionnement : hyper-sensible, hyper-réactif, souffrant du syndrome d’imposture, exigeant et décalé, troublé et démuni par ses propres pensées, aux émotions exacerbées ou au contraire inhibées et souvent somatisées…

Comment ?

Dans un premier temps, je reçois pendant 30-45 minutes, la personne en demande d’accompagnement.

Ce premier contact permet de définir les grands axes de travail et la régularité des séances.

[ZEBRE AND CO] Zèbre 2 de Marie Eyries

Dans le cas d’un accompagnement de psychotraumas, les premières séances seront dédiées à l’identification des événements à traiter, ainsi qu’a l’explication du fonctionnement de l’EMDR et du déroulement des séances.

L’EMDR en quelques mots :

Les initiales EMDR signifient Eye Movement Desensitization and Reprocessing c’est-à-dire désensibilisation et retraitement par les mouvements oculaires.

Nous avons tous un système de traitement de l’information qui se passe quand on dort. Le TAI (Traitement Adaptatif de l’Information) est programmé pour « archiver » les informations vécues. Il permet ainsi de transformer les « petits traumas » quotidiens vers du fonctionnel. Tout cela se passe à notre insu car tout se passe pendant la nuit, lors de notre sommeil paradoxal.

Ex : On m’a marché sur les pieds, je suis énervée, la nuit je traite « l’encodage émotionnel » lié à l’évènement et le matin en me réveillant, soit j’ai oublié ce tracas, soit il reste présent mais n’a plus la même intensité émotionnelle.

Mais le TAI a ses limites… Par exemple, si j’ai vécu un événement traumatisant où j’ai été atteinte dans mon intégrité, ou si j’ai eu très peur que cela arrive, ou encore si tous les jours de mon enfance quelqu’un était venu me marcher sur les pieds. Dans ces cas le TAI peut bloquer et cela fait une sorte de kyste dans l’encodage. Le cerveau n’arrive plus à traiter l’information pour la rendre vivable émotionnellement.

L’EMDR n’est rien d’autre qu’un mécanisme neuro-émotionnel, il est déclenché par les mouvements oculaires qui réactivent les circuits de notre système limbique, de notre hippocampe et de notre amygdale. Cela permet ainsi de dépasser les vécus traumatiques non digérés par le TAI naturellement.

C’est aujourd’hui la seule psychothérapie dont l’efficacité est scientifiquement prouvée.