Mythe ou réalité ?
On les appelle surdoués, enfants zèbres, intellectuellement précoces… peu importe leur nom, car le problème reste le même : un tiers d’entre eux sont en échec scolaire. Comment l’expliquer ?
Entre 2 et 5 % des élèves seraient ce que le ministère de l’Éducation nationale appelle des « élèves intellectuellement précoces » (EIP).
Une désignation peu courante, qui fait écho à l’absence de consensus sur le nom à donner à ces enfants : surdoués, zèbres, à haut potentiel…
L’Association nationale pour les enfants intellectuellement précoces (ANPEIP), agréée par le ministère de l’Éducation nationale, définit l’EIP comme « un enfant dont le développement intellectuel est en avance par rapport à celui des enfants de son âge ».
En outre, ces enfants « présentent certaines particularités dans leur processus de compréhension et d’apprentissage ».
Cette définition pourrait laisser penser que les EIP bénéficient d’importantes facilités d’apprentissage.
Pourtant, « un tiers d’entre eux sont en situation d’échec scolaire relatif ou massif », affirme sur son site internet l’académie de Bordeaux. Pourquoi ?
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